Benutzer Diskussion:Artikelwerkstatt/Limousin/Ouest 230 T E 321 bis E 332
Belege bezüglich Réseau Breton
Zitate aus Französichsprachiges Wikipedia, Artikel Réseau Breton (Zugriff am 28.06.2011) und entsprechend verlinkten Artikel:
Eigentümergesellschaften (Ouest; ETAT dann SNCF)
- ... Plusieurs lois de 1881 déclarèrent d’utilité publique la construction des lignes Carhaix - Morlaix, Guingamp - Paimpol, Saint-Méen-le-Grand - Loudéac et Loudéac - Carhaix, dont la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest obtint la concession par convention du 17 juillet 1883. Cette dernière soumit alors l'idée de construire le réseau en étoile autour de la ville de Carhaix. Afin de diminuer les coûts de construction et d'entretien, la Compagnie de l'Ouest proposa qu'il soit réalisé en utilisant la voie métrique. Ces idées furent acceptées et validées par une convention le 25 mars 1885, puis par un avenant le 30 juin avant d'être entérinées par la déclaration d'utilité publique le 10 décembre. Deux autres lignes furent ajoutées à la concession : la ligne Carhaix - Châteaulin et la ligne Carhaix - Quimperlé dont le terminus est finalement déplacé à Rosporden[1]. ...
- ... Ne souhaitant pas exploiter directement ce réseau, la Compagnie de l'Ouest décida d'en affermer son exploitation à la Société générale des chemins de fer économiques (SE) qui exploitait déjà de nombreux réseaux d'intérêt local. Le 5 mars 1886, le traité d'affermage fut conclu avant d'être approuvé par un décret un an plus tard[2]. ...
- ... La Compagnie des chemins de fer de l'Ouest (CF de l'Ouest), également connue sous le nom de L'Ouest ou Ouest, était une compagnie ferroviaire en France. Elle a été créée en 1855 par la fusion de plusieurs compagnies ferroviaires desservant la Normandie ainsi que la Bretagne et rachetée en 1909 par l'Administration des chemins de fer de l'État. ...
- ... L' Administration des chemins de fer de l'État, ou Réseau de l'État, (et non Compagnie comme parfois appelée à tort; ce terme désignant alors une société commerciale) a été créée par le gouvernement français à la fin du Vorlage:XIXe siècle et completée au début du Vorlage:XXe siècle. Son réseau résulte de l'incorporation des concessions successives de petites compagnies tombées en déshérence et de la faillite de la Compagnie des chemins de fer de l'Ouest. Lors de l'été 1937, le gouvernement décide de nationaliser les chemins de fer. Le réseau est incorporé en 1938 à la SNCF. Raoul Dautry est alors élu au conseil d'administration de la SNCF. (Il fut pressenti pour en devenir le président, mais il déclinera l'offre). ...
Betreibergesellschaft (SE dann CFTA)
- ... La société générale des chemins de fer économiques (SE), devenue Chemins de Fer et Transports Automobiles (CFTA), s'était diversifié en faisant l'acquisition d'autocars. Elle récupéra l'affermage du Réseau Breton en 1963 pour le compte de la SNCF. En mars 1963, le groupe évoquait déjà la mise à l'écartement standard de la ligne Carhaix - Guingamp ainsi que les problèmes rencontrés sur les autres lignes du réseau[3]. ...
- Fin de la voie métrique ... Le matériel fut rapidement transféré sur d'autres réseaux, vendu ou ferraillé et les voies déposées entre 1968 et 1970. Il n'existait pas d'association de préservation en Bretagne. Ainsi, à part le matériel vendu aux particuliers, seule une locomotive Mallet a été préservée en Bretagne, le reste du matériel a été dispersé un peu partout en France. En 2008, il n'existe qu'une seule association préservant du matériel métrique en Bretagne. Il s'agit de l'Association des chemins de fer des Côtes-du-Nord (ACFCdN). Elle a récupéré des wagons, des autorails, une draisine et des grues du Réseau Breton. ...
- Voie normale ... La mise à l'écartement standard de la ligne Carhaix - Guingamp a été réalisée en 5 mois. Pour cette opération, près de 200 ouvriers du Réseau Breton ont été mobilisés. Ils ont ainsi posé près de 44 kilomètres de rails, 9.750 traverses et 100.000 tonnes de ballast. Côté matériel, quatre bourreuses, une dresseuse et une régaleuse ont été utilisées. Le changement d'écartement a nécessité la reconstruction de 16 ponts[3]. De ce fait en 1968 il ne restait en activité que les lignes Guingamp - Carhaix et Guingamp - Paimpol. Leur exploitation est assurée par la société Chemins de fer et transport automobile (CFTA) (filiale de Connex, groupe Veolia) dans le cadre d'un contrat d'affermage avec la SNCF. En été, un train vapeur est mis en service entre les gares de Pontrieux et Paimpol : le chemin de fer touristique La Vapeur du Trieux. ...
Siehe auch
- ... Créée en 1880, la Société générale des chemins de fer économiques (SE) a été une des grandes compagnies exploitant essentiellement des réseaux de chemins de fer secondaires en France. Elle prit en 1963 le nom de Société générale de chemins de fer et de transport automobile (SGCFTA), puis, après fusion en 1966 avec la compagnie des chemins de fer secondaires et transports automobiles (CFSTA), devint la CFTA, aujourd'hui intégrée au groupe Veolia. ...
- ... Veolia Environnement (autrefois Vivendi Environnement et précédement Générale des eaux) est une multinationale française[4], spécialisée dans différents domaines auparavant gérés par des services publics : eau, déchets, énergie et transport. Elle emploie plus de 312 590 salariés dans 74 pays. Le chiffre d'affaires de Veolia en 2009 était de 34,6 milliards d'euros[5]. L'entreprise est cotée à la bourse de Paris ainsi qu'à la bourse de New York. ...
Trivia
Réseau Breton (RB) ist nur eine Geschäftsbezeichnung, keine eigentliche Eisenbahngesellschaft. Zumindest die Lokomotiven E 327 bis 332 müssten somit unter ETAT[6] geführt werden beziehungsweise später unter der SNCF Region Ouest (Réseau Breton)[7][8]. Auf den beiden verschiedenen Bildern der erwähnten Literatur von Sébastien Jarne und Peter Willen die die Lokomotive E 332 beschreiben, ist auch eindeutig die Eigentümerbezeichnung auf einer rechteckige Gussplatte, in der Art eines Fabrikationsschildes, mit der Inschrift ETAT sichtbar.
Belege bezüglich Fives-Lille
Folgen in den nächsten Tagen ev Wochen. Stand 28. Juni 2011 siehe:
Zitate aus Fives-Lille und entsprechend verlinkten Artikel:
- ... Les 'ateliers de construction mécanique de Fives' sont fondés en 1861 ...
- ... En 1865, la société devient la Compagnie de Fives-Lille, puis en 1868 la société anonyme Compagnie de Fives-Lille pour constructions mécaniques et entreprises. ...
- ... Dès 1861, les deux sociétés Cail et Fives-Lille forment une co-entreprise : la 'participation Cail, Parent, Schaken, Houel, Caillet, à Paris et Fives-Lille'[3]. Cette coopération conduit à de nombreuses réalisations : locomotives, ponts, viaducs, charpentes métalliques. Quand la participation prend fin en 1870, ...
- ... En 1958, "Cail" et "Fives-Lille" se regroupent pour donner naissance à la société 'Fives Lille-Cail'. ...
Hinweise
- Korrektes Artikelbezeichnung für die ganze Lokomotivserie im Französischprachigen Wikipedia wäre: 230 T Ouest E321 à E 332. Beispiel dazu siehe: 030 T Ouest 1374 à 1383.
- Catégorie Locomotive à vapeur française und Kategorie Triebfahrzeug Frankreich.
- SNCF Class 140 C und SNCF 140 C 231 -> Ouest Class 230 T und Ouest 230 T E 321 bis E 332 auf dem Deutschsprachigen Wikipedia für die Lokomotiven E 321 bis E 332.
Siehe auch
Einzelnachweise
- ↑ Plan Freycinet et inscription des lignes du Réseau Breton avec leurs numéros :
69 : Guingamp à Paimpol — 36 km ;
70 : Carhaix à Guingamp, par Callac — 46 km ;
71 : La Brohinière à la ligne de Châteaulin à Landerneau, par Loudéac et Carhaix — 168 km ;
73 : Morlaix à Rosporden via Carhaix — 112 km ;
76 : Châteaulin à Camaret — 46 km. - ↑ Bernard Rozé, Pierre Laederich, André Jacquot, op. cit., p. 13 - 15
- ↑ a b Connaissance du Rail (Numéro spécial), Le Réseau Breton, p. 14
- ↑ profil. veolia, abgerufen am 12. Oktober 2011.
- ↑ Document de référence 2009, page 177 http://www.veolia-finance.com/docs/Document-de-reference-2009-FR.pdf
- ↑ Broschüre von Sébastien Jarne: Le chemin de fer touristique Blonay–Chamby, Lausanne, 1986, ETAT G 3/5 E 332
- ↑ Buch von Peter Willen: Lokomotiven und Triebwagen der Schweizer Bahnen. Band 2: Privatbahnen Westschweiz und Wallis. Orell Füssli Verlag, Zürich 1884, zweite, überarbeitete Auflage, ISBN 3-280-01474-3, Seite 122
- ↑ Buch von Karl Grieder: Sternstunden der Dampflok. Von Dampfrössern, Dampfgiganten und Dampfveteranen. Orell Füssli Verlag, Zürich 1975. ISBN 3-280-00811-5, Kapitel Dampfromantik hoch über dem Genfersee, Seiten 86 und 87