Das Institut national d’histoire de l’art (INHA) (deutsch Nationales Institut für Kunstgeschichte) ist eine französische Hochschule und Forschungseinrichtung, das mit dem Dekret Nr. 2001-621 vom 12. Juli 2001 als Grand Établissement eingerichtet wurde.

Aufgabe des Instituts ist die „Forschung und internationale wissenschaftliche Zusammenarbeit im Bereich Kunstgeschichte und Kulturerbe“. Es befindet sich in der Galerie Colbert in Paris, welche die Abteilung für Studien und Forschung beherbergt, und im Gebäudekomplex Richelieu – Bibliothèques, musée, galeries mit der Bibliothek. Die Forschungstätigkeit gliedert sich in 8 Hauptbereiche, die Kunstgeschichte, Museologie, Sammlungsgeschichte, künstlerischen Techniken und Kunstmarkt abdecken.

Geschichte

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Im Jahr 1973 schlug der Kunsthistoriker Jacques Thuillier dem französischen Präsidenten Georges Pompidou die Gründung eines Instituts vor, dass die Forschung im Bereich der Kunstgeschichte ein Frankreich bündeln sollte. Zehn Jahre später wurde die Idee wieder aufgegriffen und André Chastel von Premierminister Pierre Mauroy beauftragt, Ideen für ein solches Institut zu entwickeln. Sein Bericht wurde noch im selben Jahr veröffentlicht.

Am Rande einer in Straßburg abgehaltenen internationalen Kunstgeschichtekonferenz gab Jack Lang 1986 die Geburt eines Internationalen Instituts für Kunstgeschichte in Paris bekannt. Unter dem Vorsitz des Kunsthistorikers Antoine Schnapper wurde ein Verein gegründet, der den Namen Nationales Institut für Kunstgeschichte trug. Das Institut war anfangs vor allem serviceorientiert und sammelte Material aus dem ganzen Land.

Ab 1990 ermöglichte der Umzug der Nationalbibliothek in neue Räume die Wiederverwendung dieser Räume für die Einrichtung des Instituts. Ende 1991 gründete die französische Regierung das Internationale Institut für Kunstgeschichte und die Nationalbibliothek für Künste.

Ende des Jahres 1992 überlegte man die Schaffung eines internationalen Zentrums für Kunstgeschichte, das aus dem Institut und der Bibliothek sowie dem Institut national du patrimoine bestehen sollte. Zur gleichen Zeit veröffentlichten François Fossier und Françoise Benhamou einen Bericht über den Betrieb der zukünftigen Bibliothek, die verschiedene bereits bestehende Bibliotheken und spezialisierte Abteilungen der Nationalbibliothek vereinen sollte.

In den Jahren 1992/93, während die Bibliothek für Kunst und Archäologie Jacques Doucet physisch vom Michelet-Institut für Kunstgeschichte zur Universität von Paris in Richtung des Richelieu-Vierecks der Nationalbibliothek, seiner, umzog Zukünftiger Standort, indem er vorübergehend seinen interuniversitären Status beibehält, befürwortet Jack Lang die Schaffung einer Öffentliche Einrichtung einer Verwaltungsnatur (Frankreich) unter dem Namen des Internationalen Instituts für Kunstgeschichte. Aber der Staatsrat gab eine ungünstige Meinung heraus und betonte, dass ein Gesetz wesentlich sei, um diese Art von Einrichtung zu schaffen, was dazu führte, dass Jack Lang aufgab.

In den Jahren 1992-1993, während die Bibliothek für Kunst und Archäologie (Bibliothek für Kunst und Archäologie (Paris)) Jacques Doucet im Institut Michelet für Kunstgeschichte der Universität Paris aufging und in den Richelieu-Komplex zog, befürwortete Jack Lang die Schaffung eines Établissement public à caractère administratif (EPA) unter dem Namen des Internationalen Instituts für Kunstgeschichte. Der französische Staatsrat lehnte die Schaffung eines EPA aber, weil dies ein eigenes Gesetz brauche. Lang gab die Idee auf.

Im Jahr 1994 beauftragte die Regierung von Édouard Balladur den Kunsthistoriker Michel Laclotte mit einem neuen Bericht zur Situation. Daraus resultiert eine Vereinbarung wurde mit dem Musée du Louvre, das bei der Einrichtung des INHA helfen sollte. Im folgenden Jahr gründete sich ein Trägerverein, dem Laclotte vorstand, Noch während die Gründungsvorbereitungen liefen, nahm das Institut 1997 seine Arbeit auf. Alain Schnapp wurde zum ersten Leiter ernannt.

Erst 1999 wurde das Institut als staatliches Forschungsinstitut etabliert und am 12. Juli 2001 per Dekret als solches gegründet.[1] et son statut confirmé par décret du Vorlage:Date-[2].

 
L’Institut national d’histoire de l’art se trouve dans la galerie Colbert à Paris.

Standorte

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Das INHA besitzt zwei Standorte. Zum einen das 1634 von dem Architekten Louis Le Vau und dem Maurermeister Michel Villedo erbaute ehemalige Hôtel Bautru, aus dem später das Hotel Hôtel Colbert wurde. Unter der Julimonarchie wurde eine Galerie geschaffen, die heute Galerie Colbert heißt. Hier sitzen heute Verwaltung des INHA, Räume des Institut national du patrimoine und die Fakultät für Kunstgeschichte der Universität Paris, die hier Büros und Vorlesungssäle unterhalten haben. Die Bibliothek des Institut national d'histoire de l'art im Gebäudekomplex Richelieu untergebracht. Die Verwaltung d der Bibliothek liegt bei der französischen Nationalbibliothek.

Missions

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L’Institut national d’histoire de l’art possède trois axes de travail : la recherche, la valorisation de l'histoire de l'art et la gestion de la bibliothèque d’histoire de l'art.

L'INHA participe à la formation des chercheurs — doctorants, post-doctorants, assistants ou attachés de conservation. Il cherche à développer différents programmes de recherche autour de l’histoire de l’art, en veillant à favoriser l’interdisciplinarité. La recherche s'orientait autour de trois thèmes dans le cadre du contrat d'objectifs 2007-2009 : l'histoire de l'archéologie, de l'art antique et de l'art médiéval ; l'histoire de l'histoire de l'art et du goût ; enfin l'histoire des arts et de l'architecture, de l'époque moderne à l'époque contemporaine. Sa cellule d'ingénierie documentaire a pour vocation de constituer et diffuser des bases de données documentaires, regroupées sous le portail AGORHA (Accès global et organisé aux ressources en histoire de l'art)[3] depuis Vorlage:Date-[4]Vorlage:,[5].

L’INHA organise également des congrès, des colloques et manifestations scientifiques et présente des expositions dans la galerie Colbert. Il participe à plusieurs rencontres, comme les Dialogues d'art contemporain et produit le festival de l'histoire de l'art de Fontainebleau avec le ministère de la Culture[6]. L'Institut est éditeur de la revue Perspective, consacrée à l'actualité de la recherche en histoire de l'art, coédite des ouvrages avec le Comité des travaux historiques et scientifiques (CTHS), le Collège de France ou l'École du Louvre et collabore avec des maisons d'édition comme les éditions InFolio, Picard, Philippe Picquier, Thames & Hudson ou Somogy. Il assure également une mission de promotion du mécénat.

Fonctionnement

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L'INHA est dirigé par un directeur général nommé pour cinq ans (mandat renouvelable une fois) : Alain Schnapp (2001-2005), Jean-Pierre Cuzin administrateur provisoire (2005-2006), Antoinette Le Normand-Romain (2006-2016)[7]Vorlage:,[8] et Éric de Chassey (2016-aujourd'hui)[9]. Il est administré par un conseil d'administration dont la présidente est, depuis 2016, Laurence Franceschini[10], conseillère d'État, et le vice-président Jean-François Balaudé.

L'INHA se compose de deux départements, le département des Études et de la Recherche, et le département de la Bibliothèque et de la Documentation, assistés par des services communs. En 2008, ses effectifs physiques variaient entre 220 et 230 personnes, y compris les boursiers et les chercheurs invités et associés.

Ressources documentaires

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Bibliothèque

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vignette|La salle Labrouste, la salle de lecture de l'INHA, sur le site Richelieu Les collections de la bibliothèque de l’INHA sont consultables dans la salle Labrouste du quadrilatère Richelieu depuis le Vorlage:Date-, après l'avoir été dans la salle Ovale depuis 1993. La bibliothèque avait 13 000 lecteurs inscrits en 2019, des étudiants en master pour près des deux tiers. Une partie des collections (environ 160.000 documents) est proposée en libre accès autour de la salle Labrouste et sur trois niveaux du magasin central, dont 35.000 volumes de périodiques. En Vorlage:Date-, elle a été rejoint par la Bibliothèque centrale des musées nationaux (BCMN)[11] et en 2021, par certaines collections de la bibliothèque de l’École nationale supérieure des beaux-arts (ENSBA). Son catalogue commun intègre également les collections de la bibliothèque Gernet-Glotz de l'EHESS. L’ensemble, qui représente un total de plus de 1.800.000 documents, est l'un des plus importants au monde dans son domaine. La bibliothèque de l’INHA est considérée comme CollEx (ex-CADIST) pour l’histoire de l’art, fonction qu’elle hérite de la Bibliothèque d'art et d'archéologie - Jacques Doucet.

Bases de données

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L’INHA produit des données relatives à l’histoire de l’art, aux artistes, œuvres, sources, etc., utilisables par les chercheurs via une application de gestion de contenus mutualisés, la base AGORHA[12], qui comprend plusieurs dizaines de bases de données appartenant aux différents domaines de recherche de l'INHA. La mutualisation de ces bases de données implique que lorsqu'un même objet de recherche intéresse plusieurs programmes, cela se traduit par la production d'une notice unique, partagée et enrichie par ces différents programmes. La même notice « personne » de Léonard de Vinci appartient ainsi à cinq bases différentes.

Le Vorlage:Date-, une refonte de la base AGORHA a permis d'améliorer l'utilisation de son moteur de recherche, décliné sous plusieurs formes :

Vorlage:Pertinence section

  • recherche générale[13] avec « Lancer la recherche » ou, à l'aide de l'onglet supérieur « Rechercher », par type de notices (œuvres - personnes et organismes - collections d’œuvres - évènements - fonds d'archives - références bibliographiques - manuscrits) ;
  • recherche simple (tutoriel)[14] ;
  • recherche experte ;
  • recherche par liens.

La seconde permet un pré-filtrage notamment par bases de données et les deux dernières donnent accès à une recherche booléenne à l'aide de 15 critères plus précis qui peuvent être croisés simultanément, tels que rôle (de, attribué à, d'après...), titre, lieu d'exécution, lieu de conservation, date d'exécution, technique, format, etc.

Ces recherches font apparaître les résultats triés sous 10 filtres dans la colonne de gauche, à savoir :

  • Filtres :
    • Base de données (RETIF, REPFALL, etc.)
    • Type d'œuvres
    • Personne liée à l’œuvre
    • Sujet
    • Date d'exécution
    • Lieu de conservation
    • Lieu d'exécution
    • Lieu de découverte
    • Matière et technique
    • Nombre de documents liés

Les lignes de résultats donnés sous ces filtres peuvent être déroulées en cliquant sur les trois petits points finaux « ... », combinées avec l'opérateur « et » en cochant plusieurs lignes ou masquées en cliquant sur la flèche figurée à droite de leur titre.

Les principales bases de données d'AGORHA sont les « documents graphiques de la bibliothèque de l'INHA », avec 47.622 documents en ligne au Vorlage:Date- et le RETIF (répertoire des tableaux italiens dans les collections publiques françaises (XIIIe-XIXe siècle))[15], avec 13.844 peintures, qui incluent environ 150 copies par des artistes non italiens (la région Hauts-de-France en a tiré un site de géolocalisation des œuvres[16] sur son territoire). Le critère de recherche « Rôle » ne figurant pas parmi les filtres privilégiés de la colonne de gauche, pour trouver les œuvres autographes, il y a lieu, soit de faire une recherche par mot dans la page de résultats avec « - de - », soit d'utiliser la « Recherche experte » puis les index « Création-Exécution, Rôle » (et) « de ». En cas d'attributions multiples, le résultat de la recherche fait d'abord apparaître celle qui est privilégiée dans la notice.

Vorlage:Boîte déroulante/début

  • Architecture / structure

AGORHA s'appuie sur une architecture de base de données relationnelle, c'est-à-dire que toutes les données sont structurées dans des tables documentaires reliées entre elles, permettant une navigation d’un type d'objet à un autre. Cinq tables sont principalement utilisées : les œuvres, les personnes, les références bibliographiques, les événements et les fonds d'archives.

  • Recherche

La navigation par liens entre notices de différentes tables est un des modes de découverte des données. Il est complété par les fonctions de recherche à proprement parler, adaptées à plusieurs niveaux d’interrogation : recherche simple (texte intégral), avancée, experte (multicritères), par liens (croisement de champs de recherche dans différentes tables), par rebonds ou sur des documents associés. À chaque type de recherche est associé un module d'aide (logo point d'interrogation) qui précise à quoi correspond le mode de recherche où l'on se trouve, rappelle les principaux outils d'interrogation et présente l'affichage des informations dans les pages de résultats ainsi que dans les notices.

AGORHA propose trois principes d'accès aux données : - un accès transversal permettant d’interroger l’ensemble des données depuis la page d'accueil : cette recherche porte sur la totalité du contenu de tout type de notices, à l'exception des documents associés aux notices et des ouvrages numérisés. Elle s'étend également aux notices des ouvrages consultables en ligne sur la bibliothèque numérique de l'INHA et aux notices des manuscrits de la bibliothèque décrits dans Calames. Les résultats de la recherche sont classés dans des onglets correspondants aux œuvres, personnes, fonds d'archives, références bibliographiques… Ex: une recherche sur André Chastel renvoie des résultats dans les onglets des œuvres, des personnes, des fonds d'archives, des références bibliographiques et de la bibliothèque numérique de l'INHA. - un accès par objet d’étude : une œuvre, une référence bibliographique, une personne, un événement, toutes bases confondues, avec possibilité de filtrer la recherche par base de données. Le menu déroulant (à gauche) propose de choisir le type de notice que l'on veut privilégier pour la recherche : œuvres, personnes, événements, fonds d'archives, références bibliographiques ou manuscrits. La recherche se fait soit sur l'ensemble des champs (simple), soit par l'application de filtres (avancée), soit par croisement de filtres (experte), avec ou sans recours aux termes indexés (utilisation des thésaurus). Ex: Rechercher les œuvres anciennement attribuées au Caravage décrites dans le RETIF (Répertoire des tableaux italiens dans les collections publiques françaises - XIIIe-XIXe siècles)[17] : en recherche experte, croiser le champ "Base de données" = (et) "Répertoire des tableaux italiens dans les collections publiques françaises" avec le champ "Personne liée à l'œuvre" = (et) CARAVAGGIO (s'aider de l'index) et le champ "Rôle" = (et) "anciennement attribué à".

Le critère de recherche « Rôle » ne figurant pas parmi les filtres privilégiés dans la colonne de gauche, il y a lieu, par exemple pour rechercher toutes les œuvres autographes sur RETIF :

  • soit d'ouvrir une notice comportant l'attribution « - de - », puis dans sa rubrique « Création-Exécution - Personne(s) liée(s) à l'œuvre » de cliquer sur « - de - », puis dans le filtre « Base de données » cocher « Répertoire des tableaux italiens... » ;
  • soit d'utiliser la « Recherche experte » pour choisir successivement : onglet « Rechercher » / « Œuvres » / recherche « Experte » / Vorlage:1er : « Création-Exécution, Rôle » (et) « de » à valider dans l'index / « Rechercher », puis dans le filtre « Base de données », cocher « Répertoire des tableaux italiens », puis cliquer sur « Tri croissant » de « Rôle » et choisir de visionner un nombre maximum de notices par page avec la case dédiée, puis rechercher sur la page le mot « - de - ».

Lorsqu'une notice énumère plusieurs auteurs possibles, seule la principale attribution apparaît dans la liste de résultats, de sorte que la mention « de » peut être masquée. Au Vorlage:Date-, les œuvres prioritairement considérées comme autographes, étaient au nombre de 3.724 incluant notamment 43 copies d'œuvres autographes par des artistes non italiens, essentiellement français, renseignés normalement par « copié par ».

Avec la recherche experte on peut ajouter aussi, avec l'opérateur « ou », les Rôles « attribué à » (5893) (incluant 3006 « anonyme ») et « atelier de » (520) aux 3.724 œuvres autographes, ou bien rechercher chacun de ces Rôles, soit un total de 7.131 tableaux exposables sur 13.844 au Vorlage:Date-, sans les œuvres principalement « anonyme » (3.332 au total), « copié d'après » (3.512) ou « copié par », « d'après » (140), « école de » (367), « entourage de » (445), « genre de » (351), « suite de » (49), « manière de » (29), « cercle de » (25), « inspiré par » (15), « degré d'attribution » (1), etc., ces attributions apparaissant parfois en second, mais pouvant toutes, comme « de », être recherchées directement à partir d'une notice qui les mentionne, alors que « anciennement attribué à » n'apparaît pas en première attribution.

Il est possible de filtrer ou trier les résultats par « Tri croissant » ou « Tri décroissant », de « Personne liée à l'œuvre », « Lieu de conservation », « Date inférieure (ou supérieure d')exécution », « Lieu d’exécution » ou « Type d’œuvre », etc. L'ajout des troncatures « * » ou « % » au terme, entre guillemets d'un index ou dans la case de recherche rapide, permet par exemple d'inclure dans « Anonyme* » l'ensemble des auteurs anonymes, toutes écoles confondues, puis de filtrer celles-ci.

On peut également accéder directement à toutes les notices de l'une des bases de données en cliquant sur « Œuvres », dans la rubrique « Voir les notices liées » de la fiche de présentation de cette base[18].

Les fonds d'archives offrent en plus une circulation dans l'arborescence des plans de classement. Ex: Retrouver la cote du fonds Louis Grodecki afin d'en consulter les documents à la bibliothèque de l'INHA

La recherche sur les ouvrages numérisés (à gauche) donne accès à la bibliothèque numérique de l'INHA, au Répertoire d’art et d’archéologie (RAA) de 1910 à 1972, et à des ressources numériques en lien avec les bases de données : le Fonds Poinssot, la revue Musica et les Cahiers Plaoutine (Répertoire des ventes d'antiques). Ex: Consulter le n°35 de la revue Musica avec la recherche "Par numéro"

- l’accès à une base de données précise : les liens vers les bases de données listées en page d’accueil mènent à leur descriptif et à un guide d'utilisation propre à chacune d'elles. De là, une navigation transverse permet d'accéder aux notices qui les composent, classées par type de notice (table), à savoir œuvres, personnes, événements, fonds… et de se déplacer par rebonds à travers les notices et les autres bases. Ex: Passer d'un tableau du RETIF à la notice consacrée à son auteur pour rebondir sur des documents d'archives le concernant. Vorlage:Boîte déroulante/fin

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Commons: Institut national d'histoire de l'art – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

Einzelnachweise

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  1. Décret n°2001-621 du 12 juillet 2001 portant création de l'Institut national d'histoire de l'art
  2. Décret n°2001-1010 du 29 octobre 2001 modifiant le décret n° 2000-250 du 15 mars 2000 portant classification d'établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel.
  3. AGORHA (Accès global et organisé aux ressources en histoire de l'art)
  4. Les nouvelles de l'INHA, n°37, avril 2010, pp. 4-5, site inha.fr.
  5. Les nouvelles de l'INHA, n°40, novembre 2011, pp. 7-9, site inha.fr.
  6. Vorlage:Lien web.
  7. Décret du 21 juin 2006 portant nomination de la directrice générale de l'Institut national d'histoire de l'art (enseignements supérieurs) - Vorlage:Mme Le Normand-Romain (Antoinette).
  8. Décret du 21 juin 2011 portant nomination de la directrice générale de l'Institut national d'histoire de l'art (enseignements supérieurs) - Vorlage:Mme Le Normand-Romain (Antoinette).
  9. décret du 5 juillet 2016 portant nomination du directeur général de l'Institut national d'histoire de l'art - M. de Chassey (Éric).
  10. Vorlage:Lien web
  11. La bibliothèque centrale des musées nationaux intégrée à la bibliothèque de l'Inha, site de l'École nationale des chartes, 28 janvier 2016.
  12. INHA, base AGORHA.
  13. recherche générale
  14. (tutoriel)
  15. répertoire des tableaux italiens dans les collections publiques françaises (XIIIe-XIXe siècle))
  16. site de géolocalisation des œuvres
  17. Guide d'utilisation de la base de données RETIF, site inha.fr
  18. Fiche de la base de données RETIF, site inha.fr.