Vorlage:Mort récente Vorlage:Voir homonymes Vorlage:Infobox Biographie2
Victor Perahia, né le Vorlage:Date de naissance à Vorlage:Arrondissement et mort le 29 Vorlage:Date de décès à Paris[1], est un français juif déporté à Bergen-Belsen, survivant de la Shoah et témoin.
Biographie
BearbeitenVictor Perahia[2]Vorlage:,[3] est né le Vorlage:Date- dans le [[12e arrondissement de Paris|Vorlage:12e de Paris]].
Le père de Victor Perahia, Robert[4] ou CaleveVorlage:Sfn Perahia est né le Vorlage:Date- à Constantinople, en Turquie. Sa mère, Jeanne Perahia (née Passy) est née le Vorlage:Date- à ParisVorlage:Sfn.
Seconde Guerre mondiale
BearbeitenLe Vorlage:Date-, Victor Perahia, âgé de Vorlage:Unité, est arrêté avec ses parents, à leur domicile du 24 rue Alcide BenoistVorlage:Sfn à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure).
Son père est déporté le Vorlage:Date-, par le convoi n°8, de Angers (Maine-et-Loire) vers Auschwitz où il est assassiné[5]. Victor Perahia est interné au Camp de la Lande de Monts (Indre-et-Loire), puis au Camp de Drancy, où il est interné de Vorlage:Date- à Vorlage:Date-. Il est déporté avec sa mère par le convoi Vorlage:N° en date du Vorlage:Date-, de Drancy à Bergen-Belsen.
Ses grands-parents maternels Salomon Passy et Sarah Passy ainsi que son frère Albert Perahia se cachent à Paris. Sarah et Albert survivent à la Shoah.
Son grand-père Salomon Passy (Vorlage:Unité) (né le Vorlage:Date- à Constantinople en TurquieVorlage:Sfn) est déporté par le convoi Vorlage:N° en date du Vorlage:Date-, de Drancy vers Auschwitz où il est assassiné[4]. Sa dernière adresse est au 5 rue de Belfort dans le Vorlage:11e arrondissement de ParisVorlage:Sfn.
Libération
BearbeitenLe Vorlage:Date-, Victor Perahia, et sa mère, sont embarqués dans un convoi ferroviaire appelé « le train fantôme ». Ils sont libérés par l'Armée rouge le Vorlage:Date- à côté du village de Tröbitz près de Berlin.
Victor Perahia arrive le Vorlage:Date- à l'Hôtel Lutetia à Paris[6]Vorlage:,[7]. Il a douze ans.
Après la guerre, Il est membre du conseil d'administration de l'Amicale Bergen-Belsen[8], administrateur de l'Union des déportés d'Auschwitz[9].
Œuvre
Bearbeiten- Mon enfance volée. Éditions Familles et amis déportés du convoi Vorlage:N°, Fondation de la Shoah
Décorations
Bearbeiten- Vorlage:Déco Chevalier de la Légion d'honneur (2008). Décret du Vorlage:Date-
- Vorlage:Déco Chevalier de l'ordre national du Mérite (2002). Décret du Vorlage:Date-[9]Vorlage:,[10]Vorlage:,[6].
Voir aussi
BearbeitenBibliographie
Bearbeiten- Albert Bigielman, J'ai eu douze ans à Bergen-Belsen, Éditions Le Manuscrit, 2005 Vorlage:ISBN, Vorlage:ISBN[11]
- Vorlage:Ouvrage. Nouvelle édition, mise à jour, avec une liste alphabétique des noms. FFDJF (Fils et filles de déportés juifs de France), 2012
Notes et références
BearbeitenLiens externes
Bearbeiten{{CLEDETRI:Perahia, Victor}} [[Catégorie:Témoin français de la Shoah]] [[Catégorie:Prisonnier au camp de Drancy]] [[Catégorie:Survivant de la Shoah en France]] [[Catégorie:Survivant de la Shoah en Allemagne]] [[Catégorie:Survivant français de la Shoah]] [[Catégorie:Survivant de Bergen-Belsen]] [[Catégorie:Chevalier de la Légion d'honneur décoré en 2008]] [[Catégorie:Chevalier de l'ordre national du Mérite]] [[Catégorie:Naissance en avril 1933]] [[Catégorie:Naissance dans le 12e arrondissement de Paris]] [[Catégorie:Décès en septembre 2024]] [[Catégorie:Décès à Paris]] [[Catégorie:Décès à 91 ans]]
- ↑ Vorlage:Lien web
- ↑ Vorlage:Lien web
- ↑ Vorlage:En LORI HINNANT. Holocaust survivor’s gruesome memories leave mark with French teens. Victor Perahia captivates middle-schoolers in Drancy with his personal story; ‘This will surely stay with me the rest of my life,’ one says. timesofisrael.com.
- ↑ a b Vorlage:Lien web.
- ↑ camps.memorialdelashoah.org/reperes/temoignages/victor_perahia.html Témoignage de Victor Perahia. liberation camps.memorialdelashoah.org.
- ↑ a b Vorlage:Lien web.
- ↑ Vorlage:Lien web.
- ↑ Vorlage:Lien web.
- ↑ a b Vorlage:Lien web.
- ↑ Vorlage:Lien web.
- ↑ Albert Bigielman. J'ai eu douze ans à Bergen-Belsen, 2005, p. 103.