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Charles Levens (*24. September 1689 in Marseille, †11. März 1764 in Bordeaux) war ein französischer Komponist des Barockzeitalters und zudem ein Musiktheoritiker und Musikpädagoge[1].

Biographie Bearbeiten

 
Marseille: Cathédrale Sainte-Marie-Majeure im 17. Jahrhundert

Die Biographie von Carles Levens wurde im Jahre 1990 im Rahmen einer neuen wissenschaftlichen Untersuchung ausgearbeitet, als Dokumente anläßlich seiner bisher nicht bekannten Heirat wohl im Jahre 1715 aufgefunden wurden:[2][3]

Geboren in der südfranzösischen Stadt Marseille erhielt Charles Levens sehr früh seine musikalische Erziehung an der Musikschule und dem Kinderchor der Cathédrale de la Major, die vollständig die Cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille heißt - oder kurz La Major genannt wird. Sien Eintritt in diese erfolgte im Jahre 1700 unter dem Meister Melchior Barrachin sowie dem Organisten Charles Desmazures.[3] Nach Abbruch einer Gesangsausbildung erlernte er die Kunst des Continuo. Er spielte Fagott und Viola und erlernte die Kompositionstechnik anhand der Werke seiner Ausbilder. Der Kinderchor, an dem auch Levens seine erste Ausbildung erhielt, wurde auch als Maîtrise bzw. chœur de la psallette bezeichnet, die den Charakter von Musikschulen hatten. An späteren Wirkorten hatte er selbst die Leitungsfunktionen dieser Institutionen inne.[2]

Er verließ im Jahre 1709 La Major und verbrachte Zeiten in Bordeaux und Toulouse. In Bordeaux lernte er Jeanne Sauzea kennen, von der er noch 13 Kinder haben wird. Im Jahre 1718 wurde ihm vom Domkapitel der Cathédrale Saint-Pierre de Vannes in der Bretagne der Posten des Kapellmeisters angeboten, wo er bis 1723 verblieb. In Vannes war er auf Grund von Verwandtschaft und Freundschaft zu einem der ehemaligen Schüler des chœur de la psallette Nicolas Mahé dessen ständiger Beigeordneter. Bevor er Saint-Pierre verließ, dirigerte Levens im Jahre 1722 das Te Deum anläßlich der Krönungsmesse für Louis XV.[2]



Il sera joué plus tard, en 1789 à Bordeaux, après la mort de Levens et au moment de l'annonce de la prise de la Bastille comme un acte d'appel à la clémence divine.


Zurück in Toulouse hatte er den Posten des Kapellmeisters der Cathédrale Saint-Étienne de Toulouse inne. Sein Ruf verbreitete sich weit über die Grenzen seines Wirkortes.


Lorsque la ville de Toulouse décide d'inaugurer l'année académique, en 1724, c'est à Levens que revient l'honneur d'écrire la cantate de circonstance. C'est sans doute le signe qu'il dirigeait aussi l'Académie de musique de la ville (ces académies, timidement créées vers cette époque, sont à considérer comme les ancêtres des conservatoires de musique, aussi bien que les maîtrises des églises cathédrales et collégiales, créées depuis plusieurs siècles, partout en France et en Europe).


Im Jahre 1738 übernahm Charles Levens den Posten des musikalischen Leiters der der Maîtrise an der Cathédrale Saint-André de Bordeaux. Diese Stelle hatte er bis zu seinem Tode im Jahre 1764 inne. In seiner Funktion als Musikdirektor genoß er einen weitreichenden Ruf als Pädagoge, als Komponist, als ein herausragender Musiker und als Musiktheoretiker.

Theoretische Arbeit Bearbeiten

Neben seinen Aktivitäten als Musikdirektor und Komponist entwickelte er ein reges Interesse an Untersuchungen zur Ausdrucksweise in der harmonischen Sprache sowie Geschmacksfragen bei musikalischen Ausarbeitungen im Rahmen seiner Zeit.

Basierend auf Ideen von Jean-Philippe Rameau und Entdeckungen von Mathematikern wie Leonhard Euler führte er ein System ein


il invente un système de sons fondé sur une échelle bimodale. Il détermine une succession diatonique - UT-RE-MI-FA-SOL-LAb-SIb-UT - où le majeur et le mineur homonymes sont subtilement mêlés au point de ne former qu'un seul et même mode « mixte ».


Seine Abhandlung mit dem Titel "Abrégé des règles de l'harmonie... nouveau projet sur un système de musique sans tempérament ni cordes mobiles" wurde im Jahre 1743 veröffentlicht. Dieses Werk wird als richtungsweisend in der Entwicklung der Harmonielehre und Tonalität eingestuft.

Lorsque, après une longue maladie, Levens s'éteint le Vorlage:Date de décès, son nom est connu dans une grande partie du pays et à Versailles. Une messe de Requiem est chantée pour le repos de l'âme du "Cantor" de Saint-André (le mot cantor est utilisé dans les pays allemands : on le reprend dans cet article en référence à J. S. Bach...). Vorlage:Refnec.

Werk Bearbeiten

Les maîtrises de Provence célèbrent le talent de l'ancien enfant de chœur de Marseille en chantant ses grands motets "Dixit Dominus" et "Exurgat Deus", son "Magnificat", son "Te Deum" et ses "Messes sans symphonie" (donc a cappella). Le prince Antoine ler de Monaco, grand mélomane, fait l'acquisition du motet "Ut Quid Deus". Les Concerts de Lille mettent à leur programme quatre autres de ses grands motets: "Magnus Dominus", "Cantemus Domino", "Benedictus Dominus" et "Laudate Dominum". Son "Paratum cor meum" est inscrit au programme des Concerts de Lyon et des maîtrises d'Aix-en-Provence. Le compositeur trouve sa consécration tant à l'office de Versailles (Chapelle Royale), qu'au Concert Spirituel de Paris avec l'exécution du grand motet "Deus Noster refugium". Sa célébrité est à son apogée dans les années 1740-1750.

En dehors des rares œuvres profanes de circonstances que Charles Levens a été amené à écrire, l'essentiel de sa production est consacré au répertoire religieux. Le choix des textes liturgiques confirme la force d'inspiration des psaumes et le succès du grand motet français dans les années 1700-1750. Mais loin de l'emprise musicale de Versailles qui donne la préférence à la création du motet, qu'on peut entendre comme une pose dans la liturgie, Levens continue la tradition des maîtres provençaux en s'intéressant aussi à l'illustration de la partir directement liturgique de la messe ou des différents offices religieux catholiques.

Au Vorlage:XVIIIe siècle, les messes polyphoniques adoptent le style concertant du grand motet versaillais avec chœur, solistes et "symphonie" (ensemble instrumental) ou simple continuo (basse continue), selon les effectifs dont dispose chaque paroisse. Dans ses deux "Messes des Morts" (un Requiem), Levens fait intervenir un chœur à 5 voix et des solistes - basse taille (baryton), haute taille (ténor), haute contre (alto), dessus (soprano). La partie instrumentale est constituée d'un continuo dont la basse harmonique est réalisée à l'orgue, avec 2 bassons et un violoncelle ad libitum jouant la ligne mélodique de basse proprement dite.

Destinées aux offices de la cathédrale Saint-André de Bordeaux, les deux "Messes des Morts" en fa proposent une illustration quasi-intégrale du texte de la "Missa pro defunctis" (Messe pour les défunts). Les paroles prophétiques du "Dies illa, Dies irae" (épisode du répons Libera me) jusqu'alors rarement présentes dans les Requiem de ses prédécesseurs, sont confiées, dans chacune des deux messes, à un soliste - haute contre et haute taille - dont la soudaine intervention au milieu d'un grand chœur confère à l'annonce du Jugement dernier un relief original.

Le souci constant de l'expression du mot conditionne le choix des différentes séquences musicales. Les formes d'interventions vocales, extrêmement variées, se succèdent au rythme d'une articulation sans cesse renouvelée. L'inspiration quasi-populaire des motifs mélodiques va de pair avec l'écriture consonante et verticale des chœurs soumis à une rythmique ternaire et pointée. À la vision réaliste des souffrances qui attendent les âmes pécheresses en enfer, dans les chœurs du "Libera me" (avec l'épisode "Quando coeli movendi sunt"), répond l'affirmation de l'espérance en un Dieu juste et miséricordieux à travers le retour apaisant des chœurs sur le "Requiem æternam" et dans l'ultime prière du "Kyrie eleyson".

Modelé par la spontanéité de la musique méridionale, affermi par ses contacts avec les œuvres de Jean Gilles, André Campra, Michel-Richard Delalande et Jean-Philippe Rameau, Levens a donné au style imposé par l'art officiel de Versailles une souplesse et une vivacité originales. De plus, par sa participation aux débats théoriques de son temps, il apparaît comme un homme des lumières (un « philosophe » au sens du XVIIIe siècle, comme l'était également Rameau) à la fois artiste et savant, dépendant de ses employeurs ecclésiastiques mais restant disponible pour tout itinéraire de découverte.

Homme modeste, zélé, d'un caractère aimable et égal comme le décrivent ses employeurs, on l'imagine rigoureux à la tâche et ambitieux au vu de sa production.

Au service du chapitre canonial de la cathédrale dont il doit satisfaire l'exigence, Levens est, à l'image de son célèbre contemporain Jean-Sébastien Bach, un compositeur qui sait exprimer par le figuralisme de son écriture, la profondeur de sa foi et son interprétation personnelle des textes bibliques. Sa dimension de théoricien, l'originalité de son raisonnement et de ses découvertes s'inscrivent dans la réflexion générale menée par les musiciens et les hommes de sciences et font de Charles Levens un homme des lumières à la fois artiste et savant.

Son œuvre fait désormais partie de notre patrimoine musical.

Discographie Bearbeiten

  • Te Deum & Deus noster refugium (CD HORTUS 060), Ensemble Sagittarius - Orchestre Baroque Les Passions - Ensemble Baroque Orfeo & Groupe Vocal Arpège. Direction : Michel Laplénie
  • Messes des Morts 1 & 2 (CD ETCETERA KTC1340), Ensemble Sagittarius - Orchestre Baroque Les Passions - Ensemble Baroque Orfeo & Groupe Vocal Arpège. Direction : Michel Laplénie

Weiterführende Literatur Bearbeiten

  • Edith Deyris, Thèse de doctorat en musicologie, Université de Bordeaux III, 1990.
  • Mathieu Gaillard, « Le mariage discret de Charles Levens, maître de musique et compositeur du XVIIIe siècle : deux documents inédits », Annales du Midi, no 301, 2018, p.59-70.

Weblinks Bearbeiten

Einzelnachweise Bearbeiten

  1. RISM. Abgerufen am 6. Juni 2023.
  2. a b c Gaillard Mathieu. Le mariage discret de Charles Levens, maître de musique et compositeur du XVIIIe siècle : deux documents inédits. In: Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, Tome 130, N°301, 2018. pp. 59-70. DOI : https://doi.org/10.3406/anami.2018.8911 www.persee.fr/doc/anami_0003-4398_2018_num_130_301_8911
  3. a b Levens Charles (1689-1764). Abgerufen am 6. Juni 2023 (französisch).


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