Diskussion:Johann Friedrich Raeder

Letzter Kommentar: vor 2 Jahren von 2003:E4:A703:6126:7C01:C12D:7D2:7ECF



Cesar Malan hat das Lied Raeders nicht vertont. Vielmehr schuf Malan die Melodie bereits 1827/28 zu seinem folgenden französischen Lied:

1 . Que peut le monde,a mon bonheur! Car je le fonde,sur mon Sauveur. Il me l'acquit, quand il souffrit Pour mes péchés,qu'il a portés. Il est fidèle, et, chaque jour, II renouvelle son tendre amour.

2. Pour me surprendre, si Satan vient, Pour me defender, Jésus survient. Il le vainquit, quand il se mit Sur cette croix où je le vois. Par sa souffrance iI le défit, Et sa puissance m'en garantit.

3. Par ma faiblesse, Ma dureté, Si je délaisse la Vérité, Bientôt Jésus me rend confus, Car il me dit en mon esprit : « Mon sacrifice ai-je accompli, Pour que du vice tu sois l'ami? »

4. Dans la misère, dans les ennuis, Sur cette terre souvent je suis. Je dis alors : « De tous mes torts Jésus blesse m'a repoussé; » Mais quand ma mère me laisserait, Mon Dieu mon père toujours serait.

5. Aussi sans crainte, en mon souci, Je fais ma plainte à cet Ami ; Car promptement me consolant, Par son Esprit iI m'affermit. Ah! jusqu'à l'heure de son retour, Que je demeure en son amour !

T+M: César Malan 1787-1864

Erstmals 1827 oder 1828 erschienen in der Sammlung Chants de Sion. Die Melodie wurde später mit einem anderen französischen Text verbreitet: Mon Dieu, mon Père, écoute-moi. Dieser Text ist auch von César Malan, der oft mehrere seiner Lieder auf die gleiche Melodie singen ließ.

In einer dem deutschen Versmaß angepassten Version wurde die Melodie dann später dem Lied "Harre, meine Seele" unterlegt. Seither ist diese Melodie untrennbar mit diesem Lied verbunden.

Man kann also nicht sagen, dass Malan den Raeder-Text vertonte. (nicht signierter Beitrag von 2003:E4:A703:6126:7C01:C12D:7D2:7ECF (Diskussion) 19:02, 12. Jul. 2021 (CEST))Beantworten